vendredi 31 août 2007

It is just a cut

Couper le gaz.
Couper l'eau.

Couper l'électricité,

Couper les cheveux en quatre (enfin surtout en ce qui concerne Madame Ga et sa frange)

Couper le téléphone, couper l'ADSL, couper le keitai et couper l'herbe sous le pied.
Stay tuned, c'est pas encore tout fait fini...et puis j'ai toujours un peu de décalage avec la vraie vie...

Operator Please, Just A Song About Ping Pong



coco daijobou


La première fois que je suis arrivé au Japon j'ai essayé de me représenter mentalement comment pouvait être la gare de Shibuya. Juste à partir d'un pauvre plan pourrave imprimé à partir du site web de l'hotel. C'est pas très facile, surtout avec des lieux à la topologie aussi complexe que la gare de Shibuya. Je suis donc arrivé, tout ignare, comme un jeune bleu-bite et suis sorti du côté sombre de Shibuya... Il m'a fallu deux heures pour parvenir à mon hôtel, en haut de la Dogenzaka ( et non et non ce n'était pas un love hotel...). La première arrivée au Japon est toujours la plus marquante. Quelques heures après je suis sorti pour aller manger un bout et suis tombé sur le kaiten-sushi qui allait devenir, plus tard, un de nos lieux de prédilection.


Et juste en face du kaiten-sushi il y avait une famille de plots, enfin juste la maman et son jeune fils, on ne sait pas ou était le père.


Prefab Sprout, Hallelujah (ça c'est pour E. qui nous loge ce soir)




Peter Bjorn John, Young folks


jeudi 30 août 2007

Enquiller une dernière anguille

C 'est un peu tard pour manger une unagi, puisque traditionellement c'est avant l'été et pour nous aiser à supporter la moiteur qu'on les déguste, mais il fallait que l'on aille absolument dans quelques restaurants de la rue kamiyama qu'on s'était pouratnt juré de tous pratiquer en arrivant ici.


Puis c'est enfin le bar long, ou les gens semblent y être heureux selon gwen, ou nous avons terminé par un dernier umeshu.

Et finissons par un hommage au self portrait tuesday du jeudi.

mercredi 29 août 2007

Semi, ayant cru reconnaître un ami

Les Semi et leur voix, c'est ce qui permet de se dire les yeux fermés "Je suis au Japon et nous sommes au mois d'aout". Ce sont de petits insectes qui passent 16 ou 17 ans à l'état de larve sous la terre puis à un moment donné, à l'époque des hanabi et des matsuri tant qu'a faire, se reveillent, sortent de terre et là; se rendent compte qu'il ne leur reste plus que quelques semaines pour gouter aux délices de la vie. Alors notre petit Semi commence à hurler de desespoir pour trouver des potes et, surtout, de la meuf une copine et/ou un copain. Notre homme frotte alors je ne sais quoi sur une autre partie de son corps et arrive à reproduire exactement le son d'une disqueuse black et Decker à pleine puissance qui attaque un bloc de béton. Le pire c'est que finalement j'aime bien ça! c'est moins cucul la prâle que les cigales et c'est unique. Les soirs, dans la grande allée de l'université de Tokyo, entre les grands arbres il est quand même difficile de se parler.

mardi 28 août 2007

A Tokyo, les ténèbres

Au Japon la nuit est présente, un peu plus qu'ailleurs. Peut être est ce du au décalage par rapport à l'heure solaire, comme nous la connaissons en France par exemple. Il se trouve qu'ici quoiqu'il arrive la nuit est la tôt, très tôt même et surtout l'été.


La nuit est importante au Japon. Tokyo s'illumine et on ne se lasse pas de contempler cette immensité dans l'oscurité.


Le ciel n'est jamais noir.

lundi 27 août 2007

Odaiba sur mer


Un barbecue a Tokyo en plein soleil de midi en aout c'est une bonne idée. La viande brésilienne, les copains et les cocktails au citron qui font tourner la tête. Heureusement ensuite, pour se remettre les neurones en ordre, il y a le chocolat belge de David et Yurika et leur adorable Kaede-chan. On y a aussi rencontré la jolie petite Mone-chan qui a eut le bon gout de naitre cinq minutes avant Judith-chan.

Puis cette vue magnifique de la baie de Tokyo, les plantons du Miraikan et les joueurs de foot compulsifs.

Les avions qui atterrissent à Haneda et la yurikamome line qui passe devant nous, on peut passer des heures à contempler cette île artificielle.

dimanche 26 août 2007

samedi 25 août 2007

Capsules

Le soir venu on file dans les hauteurs des immeubles de Shinjuku et l'on dine en amoureux dans le restaurant ou les tables sont dans des capsules en forme des fleur.

A coté des fleurs, (fallait réserver pour diner dans les fleurs, han....), on y déguste un fameux shabu shabu.


Puis le lendemain ce sont d'autres types de capsules qu'on extrait des rangées de machines.

vendredi 24 août 2007

Un dernier petit tour du quartier

En sortant dans la rue, on tourne à gauche et de la on peut voir nos frigidaires extérieurs et la maison de leïla. Leïla c'est notre voisine, elle vit au Japon depuis 20 ans et possède une nombreuse famille et plein de vélos. En plus d'être véritablement adorable, elle nous bat haut la main question niveau sonore.

Nos voisins du dessus et le toit de l'immeuble ou il n'y a pas de piscine.

Depuis la rue du haut, ou les taxis ont tellement de mal à passer....
...on arrive sur la pas de la porte vers le shrubbery.

Un peu plus haut, en haut de la pente, il y a une jolie maison avec du lierre et une véritable princesse dedans. Disons, une vielle dame qui un jour a été une princesse.


Quelques pas après la maison de leïla, on tourne a gauche et on arrive dans ... la rue des gros mots.

Petit retard

Le facteur fait des blagounettes et arrive avec sa besace vide ; heureusement, ça n'était qu'un oubli (j'avais pas mis de timbre!), et finalement, tout rentre dans l'ordre. Ouf!!

mercredi 22 août 2007

De toute façon, ça compte pour du beurre

Quand il est question d'aller au hanabi, les feux d'artifices de l'été, il faut bien s'habiller. Les Japonaises mettent leur kimono ou un yukata et les garçons aussi enfilent les leurs. Le jeu étant d'être le plus désinvolte possible et de le porter de façon négligé. Quant à Gwen et Madame Gä c'est des lunettes 3D qu'elles portent en espérant voir le Hanabi en relief...




mardi 21 août 2007

U

Mise en en jambe à l'aéroport Charles de Gaulle, avant le départ. Dans le hall, une scène comment dire très japonaise, sorte de ipponjime d'un groupe qui surement termine son périple au pas de course ou allez savoir quoi d'autre. Des cris et des hurlements de joie qui attirèrent illico les bifins du plan vigiepirate en maraude dans les parages, le Famas en bandoulière, et le regard bovin. Non ce n'était pas une émeute ni même une aggression à la samsonite, mais juste quelques uns de nos compatriotes d'adoption qui se disaient au revoir; ce que le gros balèze en treillis a eut beaucoup de mal à comprendre.

lundi 20 août 2007

Le fils de la rédemption

Si il y a une chanson qui résume mon séjour au Japon c'est celle ci. Pourquoi celle la? aucune idée, il n'y a aucun rapport avec le Japon, je ne me souviens plus à quelle occasion elle s'est retrouvée sur mon iPod et je ne voue aucun culte à Joseph Arthur, dont je ne connais à peu près que le nom. Mais voila, elle s'est imposée dans mes oreilles le matin sur le chemin du boulot ou dans le métro et cette mélodie est maintenant indissociable des odeurs, des couleurs et des impressions de Tokyo. C'est plutôt pas mal, et ça aurait pu être largement pire.

Joseph Arthur, Redemption's Son


dimanche 19 août 2007

Comiket 2007


Le Comiket, ou Comic Market c'est selon, c'est la foire bi-annuelle des mangas. Ca se passe au Tokyo big sight et, pour le peu qu'on a vu, c'est grand et très fréquenté. Il y a le salon des professionnels, des éditeurs de Mangas ou l'on n'a pas pu entrer et il y a aussi en parallèle les auteurs anonymes, les amateurs et créateurs non publiés, autant dire à peu près 80% de la population Japonaise. Imaginez deux hangars dans lesquels on pourrait faire tenir un petite dizaine de A380 sans que les ailes se touchent, remplis de tables ou de jeunes gens exposaient leurs fanzines et leur mangas publiés à compte d'auteur (dōjinshi) .


Mais nous ce qui nous interressait le plus c'est le cosplay, ou costume play c'est selon. Il s'agit de se déguiser pour ressembler le plus parfaitement à son héros de manga préféré. Sailor Moon, Pretty cure et des tonnes d'autres dont on n'a pas idée. Il faut normalement patienter plusieurs heures avant d'acceder au saint des saints, la terrasse du Cosplay. Mais ayant été averti un tant soit peu du déroulement de l'affaire on s'est pointé une heure avant la fermeture pour ne point attendre et admirer ces beautés en nage se faire photographier par de lubriques Otakus ayant délaissé quelques heures les allées des magasins d'Akihabara. Revue de détail :

Là, facile, c'est les Purikiwa five. Les préférées de Garance et Judith, il y en a cinq (five, prononcer faïveu), la verte c'est midori, la rose c'est durimu (dream) et le reste j'en sais rien..

Lui derrière c'est Obelix, mais je ne suis pas sur..

Bon, pour les autres je laisse à nos quelques lecteurs ayant de menus compétence dans le domaine le soin de les nommer .



C'était quand même un peu l'émeute des fois quand les poses devenaient lascives.


Ceux la, on les a quand même reconus, c'est Arale et Gatchan de Dr.Slump (Sembei Norimaki de son nom).Mais quand même des fois c'est n'importe quoi.

De l'éfficacité

Tu crois quand même pas que tu va laisser ton vélo la?