Voila, Monsieur Be est de retour pour un séjour éminemment studieux dans la grande ville.
J'ai posé le pied à Tokyo hier après avoir surement battu un record du monde d'efficacité à Narita. Pas de queue à l'immigration, hop hop les doigts hors du nez pour les poser sur la machine à empreintes, un petit sourire à l'officier de la "migra", ma valise qui sort en premier sur le carrousel (incroyab') et le limousine bus qui part deux minutes après avoir acheté mon billet. C'est dommage qu'il n'y ai pas de concours pour ce genre de chose. Je suis à l'hôtel de nos débuts, à Akasaka. tout ceci me replonge il y plus de trois ans quand nous arrivions ici même en famille, dans la pluie, la nuit et le jetlag.
Il suffit d'un feulement de pneu de taxi sur la route (on n'entends pas le moteur), un croassement (?) de corbeau étouffé pour que le paysage sonore me remonte en tête. hélas ma première rencontre olfactive avec le Japon, qui arrive d'habitude quand je sors de l'avion, a été parasitée par des effluves de kérosène. c'est extrêmement agaçant...
L'odeur du kérosène dans un aéroport, quoi de plus banal après tout?
RépondreSupprimerjoli billet-swandwich
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